dimanche 13 juin 2010

samedi graphique

 
Hier, après avoir assisté à la présentation d’Autant la mer de François Matton – avec l’image à l’écran, oui, c’était comme ça qu’il fallait faire – je ne m’étends pas parce que j’ai déjà dit tout le bien que je pense de ce beau livre horizontal comme le paysage rêvé par son narrateur, j’ai eu le plaisir (merci  Bénédicte, encore merci !) de rencontrer Edmond Baudoin.
Baudoin, ça fait plus de vingt ans (que dis-je : bien plus de vingt ans en réalité !) que je suis son travail, tout simplement formidable (une année, j’ai même fait étudier un de ses albums, Couma aco, à mes élèves de troisième). Au même titre que Muñoz et Sampayo, il fait partie de ces auteurs de bande dessinée qui m’ont accompagné même durant les années où je ne lisais plus de littérature.
Si je n’aborde pas souvent la BD dans ces Hublots, c’est surtout pour des raisons techniques : mon petit sous-marin est un peu trop étriqué en largeur pour bien s’y prêter. Mais tout de même : cliquez donc sur l’image médiocrement scannée par mes soins pour mieux voir cette planche d’Eloge de la poussière, (l’Association, 1995) qui, parmi beaucoup d’autres, reste dans ma mémoire.

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