jeudi 6 janvier 2011

crise de conscience


 
J’ai beaucoup en commun avec Manuel Valls et Jean-François Copé : l’âge, le physique avantageux, et surtout un doute profond concernant mon existence, que je tente furieusement de guérir par des phrases.
Autre chose ?


Commentaires

me semble que je préfère les votres
Commentaire n°1 posté par brigitte Celerier le 06/01/2011 à 21h01
(Moi aussi - mais ne le répétez pas.)
Réponse de PhA le 06/01/2011 à 21h57
Nous sommes plutôt nombreux à partager au moins le dernier point.
Commentaire n°2 posté par albin le 06/01/2011 à 21h04
Oui, nous sommes si nombreux, Jean-François, Manuel et les autres, à bramer tout seul notre doute sous la douche de bon matin.
Réponse de PhA le 06/01/2011 à 22h01
Une mauvaise visibilité. C'est dommage
Commentaire n°3 posté par Christine le 06/01/2011 à 21h07
Vite, un projecteur !
Réponse de PhA le 06/01/2011 à 22h02
www.facebook.com/pages/RODOLPHE-BURGER/142992666879
Commentaire n°4 posté par Christine le 06/01/2011 à 22h07
Vous pensez qu'ils doutent, eux ? Moi, j'en doute.
Commentaire n°5 posté par Zoë le 06/01/2011 à 22h33
Celui qui parle à tort et à travers pour se donner l'illusion d'exister (et surtout pour le faire croire à autrui) sait bien au fond de lui-même ce qu'il en est réellement, dit le sage. Bref, ces deux-là sont des héros tragiques auxquels on ne saurait jeter la pierre : elle les traverserait sans les atteindre.
Réponse de PhA le 06/01/2011 à 22h43
Vous avez sans doute raison, mais ils sont légion dans la corporation à parler à tort et à travers. Vous parlez seulement à travers 
Commentaire n°6 posté par Zoë le 06/01/2011 à 23h21
... à travers le hublot (je termine votre phrase). Quel idiot je fais ! C'est pour ça que personne n'entend rien. Attendez, j'ouvre la fenêtre.
Réponse de PhA le 07/01/2011 à 08h30
On n'a pas fini d'é-Copé ? Laisse aller, c'est un Valls ?
Bah, faute d'un candidat ad hoc, pourquoi pas Annocque président...
(pardon, quand je suis de bonne humeur, je fais des jeux de mot lamentables)
Mais c'est quoi ton programme, d'abord ?
Commentaire n°7 posté par Didier da le 07/01/2011 à 06h57
Méfie-toi : quand j'avais cinq ans j'étais de droite et je voulais être président des Etats-Unis d'Europe (un peu comme Napoléon, quoi).
(J'adore les jeux de mots lamentables.)
Réponse de PhA le 07/01/2011 à 08h27
Valls s'est déconsidéré une fois de plus et n'a donc pas surpris.
Copé, sa forfanterie nous fait marrer à chaque fois (mais avoir viré Dominique Paillé est un acte lucide).
Alain Duhamel aurait, en fait, besoin d'un remplaçant : monsieur Le Comte ne postule-t-il pas à cette fonction ? Les prébendes dudit sont nombreux.
Commentaire n°8 posté par Dominique Hasselmann le 07/01/2011 à 07h34
Monsieur Le Comte, hélas, ne changerait pas grand-chose : comme trop de politiciens il est victime de la crise du sujet.
Réponse de PhA le 07/01/2011 à 08h22
Alain Duhamel me fait remarquer que "prébendes" s'écrit au féminin : ayant peu l'habitude d'en accepter, je reconnais avoir fauté sur le plan orthographique.
Commentaire n°9 posté par Dominique Hasselmann le 07/01/2011 à 07h49
Quel tatillon ! (ne pas accepter de prébendes...)
Réponse de PhA le 07/01/2011 à 08h36
Moi je vois une grande différence, qui vous éloigne absolument de ces deux-là : ils portent la cravate, et vous le noeud-pap (en tout cas Monsieur le Comte). Cela change toute la nature du doute (qui s'étrangle, ou volète).
Commentaire n°10 posté par Florence le 07/01/2011 à 11h10
Monsieur Le Comte est bien trop léger en effet pour se laisser cravater.
Réponse de PhA le 07/01/2011 à 18h25
Euh... Monsieur Le Comte a l'œil... et le bon! ?? ... Mieux sapé? ... (J.-P. Raffarin vient de proposer ses services! Doit y en avoir quelques-uns qui doivent faire la gueule!! Oh c'est passionnant! passionnant!! ... )
Commentaire n°11 posté par Depluloin le 07/01/2011 à 11h43
(Chouette feuilleton en effet - même si les scénaristes ont tendance à un peu abuser des mêmes ficelles.)
Réponse de PhA le 07/01/2011 à 18h27
ça c'est très très drôle!
Commentaire n°12 posté par Aléna le 08/01/2011 à 16h03
Oui, nous sommes en train de monter un trio comique.
Réponse de PhA le 08/01/2011 à 16h44
Vous implicitez que le doute serait une maladie - puisqu'on pourrait en "guérir". Je ne peux vous suivre sur ce terrain infectieux.
(Copé est une maladie, ça oui, et Valls un microbe.)
Commentaire n°13 posté par r1 le 08/01/2011 à 19h51
C'est la version officielle. En réalité, j'éprouve à l'égard du doute une délectation morbide. Ah flûte, j'implicite encore !
(Donc si un Valls pénètre notre organisme, nous risquons de développer un Copé ? Et c'est sans doute contagieux ?)
Réponse de PhA le 09/01/2011 à 01h19
(Un comprimé de mélenchonite matin et soir et ils s'en vont tous.)
Commentaire n°14 posté par r1 le 09/01/2011 à 01h33
Ah oui, mais après, comment guérir de la mélenchonite chronique ?
Non, tout cette figuration politique oblige à porter un masque.
Commentaire n°15 posté par Sophie K. le 10/01/2011 à 22h59
J'ai toujours pensé que la politique était une sorte de fiction.
Réponse de PhA le 11/01/2011 à 22h31
 

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