allons donc nous disloquer à l’Esperluète

allons donc nous disloquer à l’Esperluète

Vous vous rappelez les Doigts dans la prose, le « petit éditeur » (je ne fais que répéter ce qu’il écrit lui-même sur son blog) ; eh bien ce soir, il est à l’honneur la librairie L’Esperluète, à Chartres (10 rue Noël Ballay, à 19 heures) avec Isabelle, à m’en disloquer, de Christophe Esnault ; même qu’il y aura de la musique. Moi j’y vais.

(Pour l’anecdote, l’Esperluète, c’est l’ancienne librairie Legué, une belle librairie où j’ai ouvert il y a tout juste dix ans mon premier Chevillard.)

Commentaires

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Commentaire n°1 posté par Denis Montebello le 14/05/2011 à 08h48

ça me rappelle ceci (que vous ne connaissez peut-être pas).

Réponse de PhA le 14/05/2011 à 14h33

Regarder toujours où nous mettons nos doigts!
La prose peut parfois provoquer un court-jus aussi puissant qu'une prise.

Commentaire n°2 posté par Ambre le 14/05/2011 à 10h55

C'est ce qu'on appelle une prose de risques.

Réponse de PhA le 14/05/2011 à 14h35

Grand merci. J'y serai aussi.

Commentaire n°3 posté par David Marsac le 14/05/2011 à 12h05

J'espère bien !

Réponse de PhA le 14/05/2011 à 14h36

Merci pour ce post, et il est probable que certains aient aussi ouvert leur premier "Annocque" à l'&.

Commentaire n°4 posté par Olivier L'hostis le 15/05/2011 à 12h40

Merci, Olivier ; c'est beau et ça vit, dans votre librairie ; qu'on se le dise !

Réponse de PhA le 16/05/2011 à 08h53