dimanche 20 décembre 2015

Trois ou quatre 20 décembre



Jeudi 20 décembre 2001

Suite de Par temps clair : « Finalement, pour toi, la télé… »


Mercredi 20 décembre 2000

Nouvel Affleurement : D’un gré incertain.


Dimanche 20 décembre 1998

Suite de Hors : « C’est la voix d’un autre… »


Vendredi 20 décembre 1991

Le plan de Vers des illusions serait le suivant…


Tout ça c’est dans le vieux carnet vert. On n’y trouve pas d’autres 20 décembre. Le décembre le plus ancien date de 1980, mais c’est le samedi 6 : « Rien ne s’oppose à ce qu’un roman-photo soit une œuvre de qualité… » Ensuite ça saute au 28 janvier 1981.

Le « Finalement, pour toi, la télé… » du 20 décembre 2001 n’est pas dans la version publiée de Par temps clair. J’aurais cru que si. Je ne me souviens plus pourquoi ça a sauté. Ça parasitait peut-être quelque chose.
En revanche j’ai retrouvé, en fouillant un peu, l’Affleurement D’un gré incertain du 20 décembre 2000. Sous une forme un peu différente, il donne sa matière à la vingt-quatrième pellicule du quatrième album de Mémoires des failles : « Cubes de béton, tuyaux sur une colline », pages 146-147.
La suite de Hors du 20 décembre 1998 : « C’est la voix d’un autre… », je la retrouve encore plus facilement. C’est le début de la page 113 de Rien (qu’une affaire de regard).
Quant aux Vers des illusions du 20 décembre 1991, c’était mon recueil de sonnets, inédit à ce jour. Rigolez pas : on était encore au siècle dernier.
Bon, l’un dans l’autre, je crois que le 20 décembre est un bon jour pour écrire. Au boulot.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire